Vendredi dernier, certains chauffeurs privés employés par la start-up américaine Uber, se sont réunis devant le siège social de la société pour protester contre leurs conditions de travail.
Une trentaine de chauffeurs scandait ainsi « Pas de respect, pas de travail ». Ces derniers pointent notamment du doigt, des renvois abusifs et une baisse des paies. Selon les conducteurs présents, Uber emploierait également des chauffeurs non professionnels pour diminuer ses coûts.
D’autres manifestations auraient également été organisées à New-York, Los Angeles et Washington, D.C.
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Pour parler de licenciement et de salaire, il faudrait que les chauffeurs soient employés, non? Les sources de Frenchweb ne sont plus ce quelles étaient.
@Jocelyn, exact il s’agit des reversements fait par Uber à ses chauffeurs privés, et des conditions de résiliation des contrats avec certains d’entre eux, trop soumises aux aléas des notes mises par les clients.