[Atelier Numérique – BFM Business] La chronique start-up de Frenchweb #18 : Urbacolors
Lancée à l’automne 2011 sur iPhone et disponible depuis quelques jours sur Android, l’application Urbacolors permet de découvrir, partager et « collectionner » les œuvres de street art partout dans le monde. Graphitis, installations, collages, peintures ou affiches, les villes sont devenues de véritables musées à ciel ouvert pour les passionnés d’arts urbains comme le sont les deux créateurs d’Urbacolors.
Habitués à publier des photos de street art réalisées avec leurs smartphones, ils ont développé un musée virtuel collaboratif dans lequel, outre leurs propres clichés au départ, des milliers d’amateurs ajoutent des oeuvres géolocalisés. Le service recense aujourd’hui 3900 photos dont 3000 « communautaires » dans 115 villes et 13 pays. Chacun peut participer à la création de la base, créer sa propre collection et gagner des points (bientôt des statuts) à la manière de Foursquare. Il sera prochainement possible de signaler la disparition d’une oeuvre.
L’ambition d’Urbacolors n’est pas d’ordre économique même si les créateurs espèrent trouver des pistes de collaboration avec des galeries et musées notamment. L’application en français en anglais se rêve en référence internationale su street art.
- Zero to One Nantes : l’événement incontournable de l’entrepreneuriat pour démarrer 2025 - 18/01/2025
- GOOGLE refuse d’intégrer les vérifications de faits malgré une nouvelle loi européenne / META et Community Notes : un défi pour la content creator economy ? / ETORO vise une valorisation de 5 milliards de dollars pour son IPO - 17/01/2025
- Le suédois EasyPark absorbe Flowbird (ex parkeon) pour trouver la bonne place sur l’échiquier des solutions de mobilité urbaine - 17/01/2025