Lancement officiel de TextMaster, la plateforme des rédacteurs web
TextMaster, la nouvelle plateforme de rédaction de contenus en ligne, vient officiellement de voir le jour. Cette place de marché communautaire met en relation des clients qui commandent des projets de traduction, rédaction ou correction avec des auteurs.
Lancé en béta il y a près d’un mois, le site regroupe pour le moment une communauté de plus de 15 000 rédacteurs, traducteurs et correcteurs. Ces derniers ont tous été évalués « à la main » lors d’une phase de recrutements longue de plusieurs mois. Afin d’être sélectionnés, les rédacteurs ont dû décrire une photo en 150 à 250 mots, les traducteurs traduire un texte et les correcteurs… corriger un texte. Par la suite, chaque exercice a été modéré par un expert qui en a contrôlé la qualité générale. TextMaster met l’accent sur une production de contenus de « qualité » et se targue, en ce sens, d’avoir parmi ses auteurs un ancien ambassadeur.
En ce qui concerne le système de rémunération, les auteurs sont payés entre 0,01 et 0,09 € par mot, selon leur historique au sein de la communauté, leurs qualifications et leur volume de production. Ces derniers peuvent « solder leur portefeuille » à partir de 50 € accumulés. De leur côté, les clients peuvent commander une production à partir de 0,005 € par mot. Ces derniers achètent des contenus par l’intermédiaire de crédits préalablement acquis. Le site prélève pour sa part une marge sur chaque transaction, qui varie en fonction du profil de l’auteur et de la commande du client.
TextMaster est donc, depuis ce matin, officiellement opérationnel en France, mais également aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Allemagne. Depuis son lancement bêta, plus d’un million de mots ont été rédigés « sans communication préalable » précise son co-fondateur et CEO, Benoît Laurent. La communauté d’auteurs maîtrise quant à elle 8 langues. Pour l’heure, près de 300 clients ont déjà passé commande. Parmi eux, des consultants indépendants, des agences de communication, mais aussi des grands groupes comme Allociné.
Bénéficiez de 20% de crédits supplémentaires sur une commande.
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0.8 euros les 100 mots pour un niveau « très bon », vous ne trouvez pas ça limite?? Et TextMaster gagne sur votre dos 5 euros (400 * 0.0125) pour ces 100 mots: si ce n’est pas de l’arnaque ça.. Et avec ce tarif le payout est de 50 euros!!!!
Imen,
Avez-vous noté qu’à mission équivalente un auteur peut gagner beaucoup plus ? Le tarif que vous donnez correspond à celui d’un auteur qui débute. Mais très vite, s’il est régulier dans son travail et la qualité proposée, ses gains seront nettement plus importants. Il n’y a strictement aucune arnaque la dedans. Un simple modèle économique loin d’être aussi sauvage que vous ne semblez le penser. J’espère que vous aurez le loisir de le découvrir par vous-même avec le temps.
Cordialement,
Benoit
Très intéressant, j’ai travaillé un temps dan s le domaine de la rédaction web (côté client) et il n’existait à ma connaissance aucune plate forme d’intermédiation de qualité. Espèrons que TextMaster répondra à ce besoin ! (Besoin à la fois des rédacteurs et des demandeurs d’ailleurs).
En revanche je ne comprends pas comment les auteurs peuvent « être payés entre 0,01 et 0,09€ par mot » et les clients « commander à partir de de 0,005€ par mot » o.O ?? Vous prenez une marge négative ??
De qui se moque-t-on ? Cela met le feuillet journalistique à 25 euros alors qu’il est normalement autour de 60 euros. J’invite tous les journalistes soucieux de préserver leur métier à ne pas souscrire à cette plate-forme qui n’est d’ailleurs pas la seule à pratiquer des prix au rabais
je dirais qu´il faut différencier la rédaction de qualité avec une relation privilégiée client-auteur et puis la rédaction de textes moins stylisés et poussés avec de la plateforme en ligne…
Oui c’est une forme d’arnaque. Qui voudrait se prendre la tête à passer une heure à faire des recherhces, écrire un texte de 500 mots… pour un peu plus de 2 euros? Soit le quart du smic! C’est de l’ecriture au kilomètre produite par des malgaches et autres francophones qui habitent dans des pays où ces sommes ridicules sont quand même quelque chose. Le turnover est énorme, ça va sans dire… La vraie écriture web c’est tout autre chose, et ça se paye. Benoît Laurent n’aime pas payer.
J’ai une question, TextMaster paye à partir de 50€, mais si l’on n’a pas récupéré son salaire avant 365jours, alors on le perds, ils le gardent. C’est ce qu’il y a d’écrit dans les conditions générales.
Bon.
Mais si l’on ne parvient pas à récupérer d’autres articles à traduire, et que notre crédits est à 49.99€… on ne récupère pas le salaire de son travail? Est-ce que j’ai bien compris?
Désolé, je n’accepte pas cela.