[Social Media Mag #16] Développer sa marque employeur, avec Jacques Froissant (Altaïde)
Le Social Media Mag reprend du service sur FrenchWeb. Ce seizième épisode de notre rendez-vous de décryptage des campagnes social media des marques porte sur l’usage des réseaux sociaux dans un objectif de recrutement. Cette semaine, FrenchWeb reçoit ainsi Jacques Froissant, le PDG fondateur du cabinet de recrutement Altaïde.
Il explique comment bien exploiter le potentiel des réseaux sociaux pour développer sa marque employeur, puis commente, en sonde partie, l’actualité récente : le fonds d’investissements de Randstad, le rachat de BrightRoll par Yahoo! et la Flipkart qui chercherait à lever 1,5 milliards de dollars.
Jérémie Mani, PDG de Netino, société spécialisée dans la modération sur le Web et les réseaux sociaux :
Pour ce nouveau numéro du Social Media Mag, il nous semblait naturel d’aborder les liaisons – multiples – entre RH et réseaux sociaux. L’interview de Jacques montre bien que derrière ce thème générique se cache de multiples sous-thèmes.
Premier thème, comment recruter… un community manager ? Quel profil ? Quelles compétences ? Faut-il privilégier les qualités rédactionnelles alors que l’on évoque de plus en plus le poids croissant des images et vidéos pour susciter l’engagement ? Peut-on à la fois être créatif et analytique, quand on sait qu’il y a de plus en plus d’outils et de données disponibles ? Ce métier est en perpétuelle évolution ! Les job description ont vite fait d’être obsolètes.
Deuxième thème : comment se servir des réseaux sociaux pour recruter… ou être recruté ! Les règles du jeu changent. LinkedIn et Viadeo sont vus par certains comme le Meetic… de la rencontre professionnelle. Et comme sur un site de rencontres, il y a des Do’s et Don’ts à connaître.
Enfin, les RH, ce n’est pas que le recrutement. Qu’ils le veuillent ou non, les services RH doivent surveiller les prises de paroles des employés, les réactions des candidats éconduits … autant d’éléments susceptibles de nuire à la marque employeur. Mais aussi de la valoriser ! Il est donc raisonnable d’accorder désormais autant d’importance à la parole des salariés et candidats qu’à celles des clients.