L’enseignement du code devrait faire son apparition dans les programmes scolaires. Le Conseil supérieur des programmes (CSP) a en effet dévoilé les principaux objectifs de son « Projet de programme pour le cycle 2 ».
« Dès le CE1, les élèves peuvent coder des déplacements à l’aide d’un logiciel de programmation adapté, ce qui les amènera en fin de CE2 à la compréhension, et la production d’algorithmes simples », peut-on lire.
Nokia a confirmé le rachat d’Alcatel-Lucent dans le cadre d’une opération publique d’échange qui valorise le groupe français à 15,6 milliards d’euros. Par ailleurs, pour faire pencher la balance en sa faveur, Nokia annonce également le lancement d’un fonds d’investissement de 100 millions dont l’objectif sera d’investir dans les start-up françaises, et se rapprocher de l’écosystème.
Sur fond de transformation numérique, Keolis, une filiale de la SNCF, a annoncé qu’elle allait investir 30 millions d’euros dans les trois prochaines années afin de proposer de nouvelles solutions de mobilité connectée. Par ailleurs, le groupe vient de signer des partenariats avec six start-up dont Moovit, qui propose un service équivalent à Waze, mais pour les transports publics, Tripndrive (autopartage au départ des aéroports) et OpenDataSoft.
Bien que précurseur dans la géolocalisation, Foursquare est en difficulté, notamment parce qu’il peine à trouver un véritable modèle économique. Pourtant, Yahoo! serait en discussion avec le réseau social en vue d’une acquisition, rapporte TechCrunch, qui évoque un prix de 900 millions de dollars (plus de 843 millions d’euros).
La firme de Marissa Mayer pourrait ainsi se renforcer dans le mobile et bénéficier de la communauté d’utilisateurs dont disposent Foursquare et Swarm, les deux applications de l’entreprise, et mettre la main sur leurs données de localisation.
A lire sur le sujet : Foursquare, l’histoire de la chute d’un précurseur de la géolocalisation (en 3 étapes)
Pour la première fois, les revenus générés par la vente de musique en ligne dans le monde (streaming ou téléchargement) ont atteint un niveau égal aux revenus des ventes physiques en 2014, a révélé une étude américaine IFPI Digital Music Report. Sur l’année, les revenus des ventes sur le digital ont progressé de 6,9% , à 6,9 milliards de dollars, soit une part de 46% du total des ventes. L’étude révèle néanmoins qu’en France, en Allemagne, et au Japon, les ventes physiques dominent. Elles représentent encore 57% des ventes dans l’Hexagone.