Magic Makers lève 600 000 euros pour former toujours plus d’enfants au code
Le montant
La start-up Magic Makers a annoncé sa première levée de fonds de 600 000 euros auprès de Econocom (qui prend une participation de 21,64%), la société de services numériques détenue par Jen-Louis Bouchard, et d'investisseurs privés dont Francis Nappez (CTO de Blablacar). Créée en 2014 par Claude Terosier, la start-up revendique 1 500 enfants accompagnés autour de ses ateliers de code et de «programmation créative» qu'elle a développés.
Le marché
La société parisienne cible les enfants de 6 à 15 ans et se place donc avant les écoles privées existantes telle 42 ou Simplon.co à Montreuil. Elle fait d'ailleurs appel au jeu pour enseigner les premières bases de la programmation.
Les objectifs de la Start-up
Magic Makers emploie 12 collaborateurs et une dizaine d’animateurs à temps partiel. Ils sont chargés de soixante ateliers hebdomadaires à Paris et aux alentours ainsi qu’une trentaine de stages par période de vacances scolaires. « C’est un très beau jour pour Magic Makers. Cette levée va nous permettre d’accélérer notre développement et d'initier plus d’enfants à la programmation créative», indique l'entrepreneure Claude Terosier.
- Gestion financière, quels sont les nouveaux outils qui s’imposent à tous dirigeants et CFO pour piloter leurs activités? - 25/10/2024
- Gestion de contrats d’entreprise: quelles sont les meilleures pratiques à adopter? - 21/09/2024
- NAVAN (ex-TripActions), un pionnier de la gestion des voyages d’affaires qui mise sur l’Europe - 14/09/2023
La Compagnie du hêtre, toute jeune société pyrénéenne, est contente d’avoir équipé les premiers bureaux de Magic Makers en mobilier 100 % massif ET « made in France »
bravo à claude et à magic makers ! mais pour préciser un peu les choses : nous ne sommes pas une société privée mais un acteur de l’ESS, comme 42 qui est une association, en revanche Magic Makers oui c’est un business et il y a pas de souci avec ça… et côté simplon nous avons formé plus de 5000 enfants en 3 ans, et 90000 durant l’africa code week… allez bisous