E-commerce en France: où en est l’écosystème français en 2016?
A l'occasion de sa semaine spéciale consacrée au e-commerce, Frenchweb a voulu comprendre, au travers d'une étude, à quoi ressemble le secteur de l'e-commerce français en 2016. Face à la concurrence accrue des géants américains ou chinois, comment les acteurs français parviennent-ils à tirer leur épingle du jeu?
En 2015, les internautes français ont dépensé 69,4 milliards d'euros sur Internet. Le volume d'affaires d'Amazon, leur e-commerçant préféré selon un classement réalisé par la Fevad, dépassait les 87 milliards d'euros sur la même période.
Des e-commerçants portés par un écosystème dynamique
Le marché français se trouve dominé par quelques leaders, qui grandissent grâce à des stratégies de croissance externe, comme en témoignent les récentes opérations de rachat qui ont eu lieu dans le secteur. Malgré un potentiel de marché plus restreint en France qu'à l'étranger, plusieurs dizaine de milliers de nouveaux acteurs se lancent chaque année, preuve de sa forte attractivité.
C'est tout un écosystème qui s'est construit autour de l'activité des marchands, leur offrant des solutions ciblées à des problématiques opérationnelles qu'ils rencontrent (logiciels dédiés, solutions de gestion de catalogue, solution de testing, paiement en ligne, etc.).
Forts de ce dynamisme, les e-commerçants français doivent désormais faire face à des problématiques telles que le développement des places de marchés, le mobile, et le cross-canal.
VOIR l'étude complète:
Crédit photo: Fotolia, banque d'images, vecteurs et videos libres de droits
- Gestion financière, quels sont les nouveaux outils qui s’imposent à tous dirigeants et CFO pour piloter leurs activités? - 25/10/2024
- Gestion de contrats d’entreprise: quelles sont les meilleures pratiques à adopter? - 21/09/2024
- NAVAN (ex-TripActions), un pionnier de la gestion des voyages d’affaires qui mise sur l’Europe - 14/09/2023
Je ne comprends pas pourquoi slide 8, on passe de 69,4 milliards d’€ dépensés en 2015 à uniquement 70 milliards en 2016 alors qu’on a un potentiel d’augmentation de +10%…