Impression 3D et cellules souches, de la peau aux organes viables?
Par Thomas Gouritin, fondateur de Regards Connectés
Saviez-vous que l’on pouvait imprimer de la peau et des petites surfaces d’organes? Imprimer, oui, comme avec une imprimante 3D mais pour des cellules humaines viables. On ajoute même une quatrième dimension qui est celle du temps, car il faut prendre en compte l’organisation et l’évolution dans le temps de ces cellules pour arriver au tissu humain souhaité.
Ce n’est pas de la science-fiction, tout cela est bien réel et prend forme chez Poietis, à Pessac à côté de Bordeaux. Fabien Guillemot travaille sur ces technologies de bio-impression depuis 15 ans et nous livre ici son Regard éclairé sur les possibilités actuelles et surtout futures de cette médecine réparatrice d’un nouveau genre.
Serons-nous capables d’imprimer un jour des organes entiers, viables et implantables pour réparer les vivants? Dans combien de temps pourrons-nous soigner les grands brulés avec de la peau bio-imprimée? Que penser des dérives possibles de ce type de procédés dans un délire transhumaniste? Suivez-moi à Pessac, Fabien Guillemot nous en parle.
Regard.
Le contributeur:
Thomas Gouritin accompagne les PME et les grands comptes dans leurs transformations, avec le numérique en appui. Producteur de la série Regards Connectés (chaîne Youtube et podcasts), il explore notre avenir technologique pour vulgariser des sujets complexes comme l’intelligence artificielle et faire passer des messages de pragmatisme à appliquer en entreprise.
Le sujet des chatbots est aujourd’hui incontournable, Thomas l’aborde de manière pragmatique avec, en plus de l’accompagnement projet, des conférences visant à démystifier le sujet sans «bullshit» et avec des workshops permettant à chacun de mettre les mains dans la conception pour comprendre, apprendre et faire.