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[INSIDERS] Les 15 entreprises qui payent le mieux en France

#Rémunération: les 15 entreprises qui payent le mieux en France

Quelles sont les entreprises qui offrent les meilleurs salaires dans l’Hexagone? C’est sur cette question que s’est penchée Glassdoor en se basant sur les données récoltées par son site qui permet d’évaluer les entreprises mais aussi d’entrer sa rémunération. Sans surprise, ce sont les sociétés de la Tech qui dominent le classement. 

Crédit: JHVEPhoto/shutterstock.

Les chiffres correspondent au salaire annuel médian des employés et n’incluent pas les primes. L’étude s’étend de mars 2018 à février 2019. La rémunération la plus haute répertoriée sur le site s’est élevée à 70 000 euros par an et est le fait de l’entreprise Oracle. Puis, suit SAP à 65 000 euros par an. Le géant américain Microsoft se trouve sur la troisième marche avec 63 000 euros.  Vous pouvez découvrir notre observatoire des salaires dans le digital qui recense les rémunérations sur plus d’une centaine de fonctions dans les métiers du marketing, du business development, du design, de la conduite de projet, de la finance, des rh, de l’ingénierie.

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La suite du classement:
4.Criteo: 57 000 €
5.Sia Partners: 53 500 €
6.Nokia: 52 500 €
7.Capgemini Invent: 51 000 €
8.GE: 50 000 €
9.Accenture: 46 000 €
10.Amadeus: 45,710€
11.Deloitte: 45 000 €
12.Air Liquide: 45 000 €
13.DXC Technology: 44 500 €
14.BearingPoint: 44 500 €
15.Wavestone: 43 000 €

#Cybersécurité: YesWeHack s’implante à Singapour 

La plateforme de Bug Bounty, YesWeHack basée à Paris,  de « la prime à la faille », qui a levé 4 millions d’euros en février annonce l’ouverture de ses nouveaux locaux à Singapour. L’entreprise qui revendique plus de 7 000 hackers éthiques, tente désormais de conquérir le marché asiatique, en comptant sur le projet du gouvernement Singapourien qui dit faire de la cybersécurité une priorité. 

Crédit: Gorodenkoff/Shutterstock

Fondé en 2013 par Guillaume Vassault-Houlière et Manuel Dorne, Yes We Hack revendique 8 000 chercheurs dans 120 pays et compte poursuivre son expansion. L’entreprise a nommé pour cela Kevin Gallerin en tant que Managing Director APAC, expert du marché asiatique. « Les entreprises asiatiques sont très avancées dans leur transformation digitale et sont ouvertes à des approches disruptives, leur permettant de renforcer leur sécurité tout en accélérant cette transformation.» explique Kevin Gallerin. 

#TV: près dun quart des internautes regardent des programmes piratés en direct 

AFP – Près d’un quart des internautes français regardent des programmes de télévision en direct via des services illégaux, selon une étude présentée jeudi par l’Hadopi, l’autorité chargée de la lutte contre le piratage sur internet. Dans le cadre de ses missions, qui consistent notamment à étudier l’évolution des technologies de piratage et des usages des consommateurs, pour mieux lutter contre les pratiques illicites, la Haute autorité a mené une étude approfondie avec l’Ifop sur l’ampleur en France de l’IPTV (Internet Protocol TeleVision) et du livestreaming, deux techniques de plus en plus répandues qui permettent de visionner la télé en direct de manière illégale.

Tero Vesalainen/Shutterstock.

Via des entretiens individuels et en groupe, et un sondage effectué du 27 novembre au 3 janvier auprès d’un échantillon représentatif de 1 000 internautes, complété par un suréchantillon de 800 consommateurs illicites (pour affiner les résultats), cette étude a permis d’établir que 24% des internautes utilisent un moyen illicite pour regarder la télévision en direct. A l’intérieur de ce phénomène, trois grandes pratiques cohabitent. La plus utilisée (17% des internautes y ont recours) est le « livestreaming », prisé notamment des amateurs de foot. Cela revient à consulter un site gratuit (mais qui se rémunère via des publicités) qui diffuse un événement sportif en direct, en piratant les images d’un diffuseur officiel. 

Cette pratique est donc ponctuelle et axée sur la recherche d’un contenu précis, comme un match de Ligue des Champions. Elle semble avoir été favorisée en France par l’éclatement des droits sportifs entre plusieurs grands diffuseurs (BeIN, Canal+, SFR/RMC Sport…). En outre, 14% des internautes regardent des contenus en direct sur les réseaux sociaux, illégalement partagés par d’autres internautes via Facebook Live, Périscope (Twitter), Youtube etc. Enfin, moins pratiquée en France (5% des internautes) mais en forte progression, l' »IPTV » est un peu le Graal des télévores: elle permet de visionner jusqu’à plusieurs milliers de chaînes du monde entier, en direct, pour quelques euros par mois.

Pour ce faire il suffit d’acheter un petit boîtier facilement accessible sur internet ou dans certaines boutiques, souvent préconfiguré, ou d’installer une application (pour téléviseur connecté, smartphone, tablette…) qui permet d’accéder à ces offres illicites. Cerise sur le gâteau, ces offres IPTV illégales proposent en bonus des milliers d’oeuvres (séries, films) à la demande. Et pour ceux qui rechignent à payer, il existe une alternative gratuite, les M3U, des services moins complets et qui se financent via des pubs. 

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