🎂 Bon anniversaire à Louisa Billamboz (PEPITES.CO), Grégory POUY, Damien Morin (MOBILE CLUB)

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C’est le seul titre qui me vienne à l’esprit. Comme beaucoup de medias professionnels, depuis le début de la crise du COVID nous avons été marqué par des changements d’usage plus structurels qu’ils n’y paraissaient. Changements qui nous ont amené à recomposer la proposition de valeur de FRENCHWEB.FR

A votre écoute, nous avons créé une grille de contenus exclusifs, TRENDS, EXPERIENCES et le GOOD MORNING FRENCHWEB, qui s’est imposé comme le rendez vous majeur de FRENCHWEB.FR avec ses informations inédites, et son panorama complet de l’actualité tech et innovation.

Face à vos besoins de lead gen, et de recrutement, notre sélection des meilleures solutions avec TOOLBOX et le nouveau JOBBOARD ont donné un nouvel élan aux campagnes de nos partenaires.

Nous vous réservons encore quelques surprises d’ici la fin de l’année, avec notamment le lancement de notre DATAROOM, qui vous donnera accès aux données clés des entreprises françaises de la tech.

Merci d’être au rendez vous! Les stats de novembre sont tombées et vous êtes à nouveau près d’un million à nous suivre chaque mois au travers de nos différents supports web et newsletters et surtout à passer beaucoup plus de temps à écouter nos podcasts, voir nos reportages, ou lire nos analyses.

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Nous amplifierons cette dynamique en 2024, à l’heure des budgets qu’il faut ciseler, n’hésitez pas à nous contacter pour vos futurs projets ou à nous remonter vos feedbacks sur ce que vous souhaiteriez que l’on améliore: 2024@frenchweb.fr

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Le compte à rebours de l’IA Act a commencé

L’Union européenne entame une course contre la montre pour finaliser son IA ACT avant le 6 décembre, sous peine d’échouer à légiférer sur un sujet de politique numérique extrêmement important pour les consommateurs. A cette date : la dernière réunion entre les institutions clés de l’UE – la Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l’UE représentant les pays membres – sous la présidence tournante actuellement détenue par l’Espagne.

L’un des principaux enjeux restants concerne la régulation des modèles fondamentaux d’IA, comme ceux utilisés par ChatGPT. Face aux réticences de la France, de l’Allemagne et de l’Italie concernant une réglementation trop stricte, un compromis probable limiterait la surveillance stricte aux modèles présentant un « risque systémique », principalement ceux des entreprises américaines dominantes, laissant ceux des concurrents principalement européens hors du champ d’application.

La question de l’utilisation de l’IA par les forces de l’ordre à des fins de surveillance est également cruciale. On s’attend à un compromis permettant aux gouvernements nationaux de conserver une marge de manœuvre importante, tandis que Bruxelles prétendrait interdire les formes les plus controversées d’utilisation de l’IA dans la sécurité nationale.

Une question demeure : quelle sera la teneur exacte du texte final qui sera inévitablement publié dans les premières heures du 7 décembre ? Le compromis en cours laisserait de la place pour de futures négociations lorsque la Belgique prendra la présidence des affaires de l’UE pour les 6 prochains mois. On peut également s’attendre à des réactions de Washington si, comme prévu, les modèles d’IA américains sont soumis à une réglementation plus stricte que leurs rivaux plus petits de l’UE.

La position de la France sur l’IA générative plus que jamais incertaine

Les temps sont compliqués pour JEAN-NOEL BARROT, ministre délégué chargé du numérique, qui vient de souligner l’importance de la protection du droit d’auteur dans le contexte de l’intelligence artificielle (IA) lors d’un événement sur l’IA organisé par la CNIL. Il a questionné l’impact de l’IA sur la création artistique, suggérant que le découragement des artistes par l’IA pourrait réduire la matière première “de son apprentissage”.

Cette déclaration intervient une semaine avant le trilogue européen crucial sur l’IA ACT, prévu pour le 6 décembre, moment décisif pour la législation européenne sur l’IA. La France, auparavant réticente à réguler les modèles de fondation de l’IA, semble donc prête à assouplir sa position.

4,5 millions d’euros pour la startup MYJOBGLASSES

MYJOBGLASSES est lauréat de l’AMI CMA et sera soutenu financièrement à hauteur de 4,5 millions d’euros de France 2030, afin de mettre en place un programme de 2 000 ambassadeurs issus de la filière aéronautique et spatiale et de la filière agroalimentaire élargie à l’interbranche agricole et à la pêche pour accompagner la réindustrialisation de la France

MICROSOFT mise sur l’Angleterre

MICROSOFT a annoncé son intention d’investir 2,5 milliards de livres sterling au Royaume-Uni sur une période de trois ans, marquant ainsi son plus gros investissement à ce jour dans le pays. Cette initiative vise à soutenir la croissance de l’intelligence artificielle (IA) et comprendra l’ajout de plus de 20 000 unités de traitement graphique (GPU).

TIKTOK mise sur l’Europe

TIKTOK a annoncé son intention d’investir 12 milliards d’euros sur une période de 10 ans en Europe. Cet investissement comprendra la construction de trois centres de données et des audits de sécurité. TikTok a également entamé les travaux pour la construction de son centre de données en Norvège.

Un Black Friday 2023 : résultats en trompe-l’oeil pour le e-commerce

Moroses sont les ventes internet du BLACK FRIDAY 2023 par rapport à l’édition de 2022 selon les données du panel NielsenIQ (2,5 millions de consommateurs en Europe). Le continent a connu une croissance des ventes en ligne de 7% lors du Black Friday 2023 comparé à l’édition précédente mais cette hausse est principalement attribuée à l’augmentation du nombre d’acheteurs en ligne actifs durant cette période. A noter un nombre moins important de produits achetés cette année.

Dans le secteur de la mode (vêtements, chaussures, accessoires, montres, bijoux, bagages et sacs), on observe une baisse de 2 points de part de marché par rapport au Black Friday 2022. Cette diminution marque un tournant pour une catégorie habituellement populaire lors de cet événement commercial. En revanche, la catégorie Maison et Appareils électroménagers connait une progression notable de 3 points de part de marché sur une période de 3 ans, reflétant une évolution des préférences des consommateurs et/ou des stratégies des détaillants.

Un supervolcan américain, future mégamine de lithium ?

Des chercheurs ont découvert dans le supervolcan éteint de McDermitt, situé entre le Nevada et l’Oregon, ce qui pourrait être le plus grand gisement de LITHIUM au monde, estimé à plus de 100 millions de tonnes. Cette réserve exceptionnelle de lithium, un métal clé dans la fabrication des batteries, est un acteur majeur de la transition énergétique, alimentant les voitures électriques et les smartphones.

La dernière éruption de McDermitt remonte à 16 millions d’années. Aujourd’hui, l’exploitation de ce gisement pourrait débuter en 2026, ce qui aurait un impact majeur sur le marché mondial du lithium et permettrait aux Etats-Unis de prendre la tête de la course mondiale au Lithium. Actuellement, la production mondiale de lithium est limitée à 150 000 tonnes par an, alors que la demande est estimée à 1 million de tonnes d’ici 2040.

Cette découverte pourrait non seulement surpasser les réserves des salines de Bolivie, mais aussi garantir un approvisionnement durable pour les technologies propres et les énergies renouvelables. Ce développement prometteur pourrait redéfinir les dynamiques économiques et écologiques du secteur, tout en respectant les normes environnementales grâce à une exploitation efficace.

Meta cerné sur le “choix” entre ciblage publicitaire et abonnement payant

Le Bureau européen des consommateurs (Beuc) a déposé une plainte contre META, arguant que l’option proposée par l’entreprise de renoncer au ciblage publicitaire en échange d’un abonnement mensuel jusqu’à 13 euros est « inéquitable et illégale ». La plainte, soutenue par 18 membres nationaux du Beuc, dont UFC-Que Choisir (pour la France), a été déposée ce jeudi 30 novembre auprès du réseau des autorités de protection des consommateurs, incluant la DGCCRF.

Le Beuc critique plusieurs pratiques de Meta, qu’il juge « déloyales, trompeuses et agressives » et contraires au droit européen des consommateurs. Parmi ces pratiques, le blocage des services Facebook et Instagram jusqu’à ce que l’utilisateur fasse un choix, l’ambiguïté sur la collecte de données pour les abonnés payants, et l’utilisation du mot gratuit pour des services qui collectent des données à des fins de ciblage publicitaire.

L’organisation évalue également la conformité de ces pratiques avec le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Le Beuc souligne que la position dominante de Meta et les tarifs élevés ne permettent pas un « choix réel » aux utilisateurs. Cette argumentation fait écho à celle de l’ONG Noyb de l’activiste Max Schrems, qui a déposé une plainte similaire deux jours plus tôt devant la Cnil autrichienne.

Par ailleurs de source interne Meta, l’entreprise se pose en effet la question sur ce choix hasardeux (ciblage publicitaire ou abonnement payant) validé il y a quelques semaines et mis en place en Europe.

Réponse du berger à la bergère.

Suite aux commentaires d’Elon Musk, certaines agences de marketing rapportent que certaines marques n’ont pas l’intention de reprendre leurs annonces sur la plateforme X. De plus, certaines agences recommandent même aux marques de suspendre temporairement leurs campagnes publicitaires sur X.

Face à l’accumulation de pertes LA POSTE cède STUART

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