Créé en 2009, Artilinki est un réseau social pour les professionnels de l’art, les fans et les collectionneurs. Aujourd’hui disponible dans 13 langues, riche de plus de 15 000 oeuvres multimédias, le site propose des rencontres de créatifs, les « Meetups Artilinki » dans 20 capitales mondiales.
Après avoir remporté l’appel à projet Européen Proxima sur la téléphonie mobile, la start-up lyonnaise a lancé, il y a quelques semaines, une application mobile qui se veut la « première au monde à lire un contenu multimédia » (images avec zoom, musiques, podcasts, radios, vidéos, PDF…) pour embarquer des portfolios de créateurs dans leur totalité sur mobile.
L’application révèle également une nouvelle fonction pour laquelle un brevet a été déposé aux Etats-Unis: « le hurlement ». Il permet, face à une oeuvre ou un événement de qualité, de hurler l’information aux membres dans un rayon géographique qui augmentera avec l’intérêt, reconnu par la communauté, des alertes. Il s’agit de créer des « super hurleurs » qui pourront donner en temps réel de très fortes caisses de résonance à des événements. L’application est disponible gratuitement sur iOS et Android.
Artlilinki envisage à terme de devenir aussi une place de marché de l’art. La société a déjà bouclé une première levée de 300 000 € et est en discussion pour une vraie accélération. Entretien avec Michael Fleury, Fondateur et CEO de Artilinki.
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La plateforme la plus traduite au monde.
Je crois que t’as oublié Myspace l’ami…
Qui a dit qu’il s’agit de la plateforme la plus traduite au monde ?
Et c’est quoi le modèle économique ? Comment vont-ils faire pour gagner en retour de nouveau plus de 300 000 euros et donc générer des bénéfices ?
Une application mobile à essayer !