La régie publicitaire d’Adverline se lance dans l’habillage publicitaire en real-time bidding, une technologie d’achat et de vente d’espaces via des enchères en temps réel.
Il s’agit d’un pari ambitieux puisque l’agence sollicite cette technique pour les formats Arche – c’est à dire l’habillage d’un site internet éditeur autour de sa structure principale – alors que le RTB est généralement utilisé pour des espaces publicitaire plus classiques. La société précise cependant qu’elle ne proposera pas de display.
La régie, qui regroupe un réseau représentant plus de 25 millions de visiteurs uniques par mois (selon Médiamétrie/Net ratings, mai 2013), précise qu’un premier test grandeur nature a déjà été effectué en partenariat avec l’agence Netbooster.
« Avec cette technologie, nous permettons aux annonceurs d’accéder au branding en RTB, mais ceux uniquement sur notre place de marché privée : « The Place To Bid ». Nous serons cependant ravis d’accepter d’autres éditeurs qui ne font pas partie de la régie et qui souhaiteraient faire partie de « The Place To Bid » uniquement pour le format habillage » précise Philippe Framezelle, directeur d’Adverline-régie.
[A lire également : Tout ce qu’il faut savoir sur le Real Time Bidding]Le groupe Publicis a acquis Interactive Solutions, une agence numérique polonaise, basée à Varsovie, spécialisée dans les nouveaux médias, afin de l’intégrer au réseau Saatchi et Saatchi.
«L’expertise dont Interactive Solutions a toujours fait preuve dans la conduite de ses projets numériques pan-européens ne sera pas simplement le gage de son développement en Pologne, mais en fera un élément clé de la croissance de notre réseau » selon Justin Billingsley, le Directeur des opérations de Saatchi & Saatchi EMEA.
Créée en 2004, Interactive solutions compte de grands noms comme Procter & Gamble, Toyota ou Visa parmi ses clients et repose aujourd’hui sur plus de 160 employés. Malgré sa taille significative, « nous pensons que la phase de transition se fera en douceur et sera très bénéfique pour Saatchi, » rassure Piotr Morkowski, le PDG d’Interactive Solutions.
La régie d’origine suédoise Widespace a annoncé ce mardi devenir la régie exclusive pour le groupe Le Nouvels Observateur pour ses applications et sites mobiles. Celui-ci intègre le magazine éponyme mais également Challenges, Sciences et Avenir ou encore le pure-player de l’information Rue 89.
« Nous souhaitons que nos différentes marques […] puissent s’appuyer sur un partenaire innovant dont l’expertise et la proximité permettent une valorisation optimale de notre présence sur les différentes plateformes mobiles comme iOS, Android ou Windows Phone » selon Christina Sourieau, Directrice digitale du groupe Le Nouvel Observateur.
Implantée en France depuis le début de l’année, Widespace revendique 8,3 millions de visiteurs uniques dédupliqués en juillet (en audience Médiamétrie) et vise les CSP+. Elle devrait lancer dès « novembre les premières campagnes Drive to Store et Voice Ads » selon Pierre Gauthier, co-dirigeant du bureau français.
La publicité débarque cette semaine sur Instagram aux Etats-Unis, conformément à ce qu’avait annoncé le réseau social au début du mois. La société a révélé sur son blog la forme que prendraient les annonces.
A l’instar des « tweets sponsorisés », Instagram diffusera sans véritable surprise des « photographies sponsorisées » qui apparaîtront dans le flux de publications des membres.
La société rachetée par Facebook pour un milliard de dollars en 2012 ne commencera dans un premier temps qu’avec les marques déjà présentes sur sa plateforme et précise que chaque utilisateur pourra « appuyer sur [un bouton] en dessous pour cacher [la publicité] et expliquer ce qu’il n’aime pas ». Le potentiel marketing de ce nouveau dispositif est très élevé puisque 18% des détenteurs de téléphones mobiles utilisent Instagram outre-Atlantique selon une étude du Pew Research Center révélée lundi.
Les vidéos publicitaires sur internet d’un format de 30 secondes sont plus à même de convaincre un internaute lorsqu’il s’agit d’un message complexe, alors que celles de 15 secondes augmentent davantage le taux de clic selon une étude de l’agence YuMe et Dynamic Logic publiée cette semaine.
Google a confirmé à Mashable expérimenter un nouveau format publicitaire auprès d’une poignée d’utilisateurs américains.
Des bannières publicitaires situées au dessus des traditionnels contenus sponsorisés apparaissants en haut des résultats de recherche seraient actuellement l’étude. La startup américaine Synrgy, spécialisée dans le marketing digital à destination des petites entreprises, a révélé dans un tweet la forme prise par le module.
Google testing sponsored cover photos in SERPs cc: @rustybrick @douglaskwong pic.twitter.com/xN7Z8GHZPa
— Synrgy (@SynrgyHQ) October 23, 2013
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Ca a aussi été testé en France avec la SNCF la bannière Google.