[Ils l’ont dit] Blockchain, «slow business», #FWDmedia…: le meilleur de la semaine
FrenchWeb a sélectionné les phrases clés de la semaine. La blockchain, le «slow business», ou encore la stratégie des grands groupes de l'Internet, retour sur ces phrases présentes dans nos tribunes. En bonus, trois tweets du Frenchweb Day Média du 14 avril.
La blockchain est une technologie de stockage et de transmission d’informations transparente, sécurisée, et fonctionnant sans organe central de contrôle
La blockchain est un outil novateur et révolutionnaire qui, selon de nombreux spécialistes, s’apprête à bouleverser nos vies comme l’ont fait avant elle l’imprimerie et Internet. Elle s’annonce d’emblée comme une promesse, celle de changer en profondeur l’organisation des transactions, et séduit gouvernements, grandes entreprises, fonds d’investissements et entrepreneurs. Mais qu’est-ce que la «blockchain» ? Revenons à ses origines pour mieux cerner le mode de fonctionnement de cette nouvelle technologie et ses applications.
Aux origines de la blockchain
Au commencement était la monnaie. De la monnaie primitive à la monnaie fiduciaire et scripturale, les instruments de transaction financière reposent sur la confiance, celle que lui accordent ses utilisateurs en tant qu’unité de compte, moyen d’échange et réserve de valeur. Cette confiance s’appuie sur un principe de garantie incarné par une institution centralisée (Etats, banques ou instances locales dans le cas des monnaies complémentaires locales).
La dématérialisation de la monnaie, de l’introduction des chèques à la création des cartes de paiement, s’est accélérée depuis 25 ans avec l’apparition des transactions électroniques. Elle ouvre la voie à une réflexion…
Le but du slow business n’est pas de travailler moins, mais plutôt d’apprendre à aimer davantage son travail, de prendre du plaisir en travaillant et donc d’être redoutablement productif
Avez-vous entendu parler du «slow business» ? Cette tendance qui permet de réapprendre à aimer son travail, de prendre le temps de se concentrer sur ses projets et de profiter des relations humaines que l’on noue avec les clients, les fournisseurs et ses collaborateurs. Cette tendance «Slow Business» souhaite amener de la qualité dans le travail et une expérience de vie professionnelle moins stressante, plus vivante et qualitative.
Le slow business fait beaucoup de bruit outre-Atlantique et ne cesse de rassembler de nouveaux adeptes. Pour certains, le burn-out étant devenu le nouveau mal du siècle, le slow business peut changer la donne. De plus en plus de cadres et d’employés se plaignent de leurs rythmes excessifs de travail, du stress et de la fatigue que cela implique.
D’autres revendiquent le slow business comme étant la révolution qui ralentira l’explosion de la prochaine bulle Internet. Et pour cause, beaucoup trop de start-up n’ont qu’un mot d’ordre…
Comme ce fut le cas dans le Web 2.0, la position des acteurs est à la fois technologique mais aussi liée à la capacité à satisfaire des besoins importants d’utilisateurs, à créer des écosystèmes applicatifs et à trouver un bon modèle économique
Dans l’épisode précédent de cette série sur les avancées de l’intelligence artificielle publiée par intermittence, je m’étais penché sur un inventaire partiel de start-up du secteur. Il en manquait quelques-unes, acquises par de grandes entreprises et notamment par les GAFA et autres IBM, Microsoft, Oracle, LinkedIn et Salesforce.
C’est le lot commun de vagues d’innovations que de générer ce genre d’acquisitions. On en déduit que les grandes entreprises ont le souci de s’adapter rapidement aux évolutions du marché et de ne pas rater un train qui part ou qui est déjà en marche. L’IA n’y échappe donc pas. Cela a commencé il y a pas mal d’années avec des acquisitions portant d’abord sur la recherche, le traitement de l’image et la reconnaissance de la parole. Les acquisitions les plus récentes portent plutôt sur le machine learning adapté au big data.
Voici donc un tour d’horizon…
Présents lors du Frenchweb Day Média qui avait lieu ce jeudi 14 avril à Paris, les acteurs des médias ont échangé sur les enjeux et les défis de leur secteur d'activité. Florilège.
Pour @cyrilzim la #pub et le contenu éditorial sont indissociables. Les #adblocker violent cette union. #FWDmedia pic.twitter.com/z1FxXedk1M
— Mathias Blandin (@matblandin) 14 avril 2016
S. Herz : "Le rêve de tout éditeur, c'est de se faire rencontrer la prescription et l'acte d'achat."#FWDmedia
— frenchweb (@frenchweb) 14 avril 2016
Grâce à un appât marketing, qui est le contenu et pas la pub, on va bâtir une relation à la marque selon Cedric Siré #Webedia #FWDmedia
— Francois Doux (@francoisdoux) 14 avril 2016
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