Frenchweb a sélectionné les entreprises qui ont rythmé la semaine.
Face à LeBonCoin et Facebook Marketplace, BrocanteLab lève 3 millions d’euros pour s’imposer sur le marché de la brocante en ligne
La start-up parisienne BrocanteLab, qui développe une marketplace pour brocanter en ligne auprès de marchands professionnels, a bouclé un tour de table de 3 millions d’euros mené par Accel. Pour réaliser cette opération, la société a également bénéficié de la participation de Kima Ventures, le fonds de Xavier Niel. A cette occasion, BrocanteLab change également d’identité pour devenir Selency. Ce nouveau nom a vocation à créer une marque au rayonnement plus international.
L’an passé, BrocanteLab avait levé 500 000 euros auprès de plusieurs investisseurs de renom, à l’image d’Oleg Tscheltzoff, co-fondateur de Fotolia, et de Thierry Petit, le créateur de Showroomprivé.
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Levée de fonds
Alan, 12 millions d’euros pour faire passer l’assurance complémentaire santé à l’heure du digital
La start-up parisienne Alan, qui a créé une assurance complémentaire santé digitale, a finalisé un tour de table de 12 millions d’euros. Pour réaliser cette opération, la société a bénéficié du soutien de CNP Assurances, via Open CNP, Power Financial of Canada et Partech Ventures.
Fondée par Jean-Charles Samuelian et Charles Gorintin, Alan a conçu une assurance complémentaire santé dématérialisée. La start-up mise sur un circuit simplifié et modernisé pour l’utilisateur, afin de lui proposer une offre intégralement digitale. Concrètement, une fois l’entreprise inscrite sur Alan, ses salariés peuvent s’y inscrire par eux-mêmes de manière totalement autonome, et peuvent résilier leur contrat à tout moment, sans intervention de leur employeur. «Nous changeons la manière dont une compagnie d’assurance fonctionne, avec une approche complètement digitale, et de la distribution en direct», explique Charles Gorintin, co-fondateur et CTO d’Alan.
Dataiku lève 14 millions de dollars pour s’imposer dans l’analyse prédictive face à IBM et SAP
La start-up parisienne Dataiku, qui édite un logiciel pour développer de nouvelles applications prédictives, vient de boucler un tour de table de 14 millions de dollars mené par le fonds new-yorkais FirstMark Capital. Les investisseurs historiques, Alven Capital et Serena Capital, ont également participé à cette opération. En janvier 2015, les deux fonds avaient pris part au tour de table de 3 millions d’euros de Dataiku, qui visait déjà à conquérir le marché américain.
Fondée par Marc Batty, Thomas Cabrol, Florian Douetteau et Clément Sténac, Dataiku a développé Data Science Studio, une plateforme dont l’objectif est de rendre plus productif et efficace le développement d’une application prédictive. «Le concept de DSS repose sur une plateforme qui permet à tous les intervenants de travailler ensemble sur un projet de data», explique Clément Stenac, co-fondateur et CTO de Dataiku.
Alantaya lève 2,5 millions d’euros pour créer des menus sains et équilibrés
La start-up francilienne Alantaya, spécialisée dans la diététique connectée, a bouclé un tour de table de 2,5 millions d’euros. Des investisseurs privés et familiaux ont pris part à cette opération. Toutefois, leur identité n’a pas été dévoilée.
Fondée en 2013 par Yannick Taes, Alain Bedu et Séverine Gailler-Legendre, Alantaya propose un service en ligne qui suggère des menus culinaires en fonction des contraintes de santé de l’utilisateur. Pour lui proposer des repas complets conformes à ses pathologies et son activité quotidienne, le logiciel prend en compte une multitude de données fournies par l’utilisateur, à l’image de la tension artérielle, du cholestérol, du diabète, des intolérances au gluten, des maladies cardiovasculaires ou encore de l’activité physique. Une fois ces données collectées et analysées, Alantaya se charge de générer un menu complet (entrée, plat, dessert) pour chaque repas tout au long de la semaine.
Google rachète Eyefluence pour accélérer dans la réalité virtuelle
Google vient de conclure l’acquisition de la start-up californienne Eyefluence, qui a conçu un dispositif d’interaction avec les yeux pour les appareils de réalité virtuelle et de réalité augmentée. Les détails financiers de l’opération n’ont pas été dévoilés.
Fondée en 2013 par Jim Marggraff et David Stiehr, Eyefluence développe une série de technologies permettant d’assurer le suivi du comportement des yeux pour la réalité virtuelle et les applications de réalité augmentée. Depuis sa création, la société américaine avait levé 21,6 millions de dollars.
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