[DECODE INSIDERS] Après le succès de Pokémon GO, Niantic mise sur Harry Potter pour battre tous les records
#Gaming: Après le succès de Pokémon GO, Niantic mise sur Harry Potter pour battre tous les records
Niantic Labs, le studio connu pour avoir développé le jeu de réalité augmentée Pokémon GO, a présenté son nouveau projet « Harry Potter : Wizards Unite » sur son site officiel, et a permis à des professionnels de le tester. Les joueurs évolueront dans l’univers d’Harry Potter et des Animaux Fantastiques, où ils pourront notamment choisir leur baguette magique, préparer des potions, se spécialiser dans différents métiers magiques (aurores, magizoologistes, professeurs), bénéficiant chacun de leurs propres compétences et aptitudes. Ils auront également accès au monde « réel » des moldus.
L’histoire se déroule après les événements du dernier Harry Potter (Les Reliques de la Mort). Une calamité (The Calamity) s’est abattue sur le monde des sorciers : des créatures et objets magiques apparaissent dans le monde des moldus et risquent de révéler l’existence des sorciers. Les joueurs, au service du Ministère de la Magie, auront pour mission de trouver et d’apprivoiser les éléments magiques pour les reconduire dans le monde des sorciers. Plusieurs fonctionnalités seront disponibles, comme les « Forteresses », accessibles pour les joueurs souhaitant combattre des Mangemorts ou des Détraqueurs (en mode multi-joueurs). L’intrigue principale restera d’enquêter sur le responsable de cette calamité et de l’arrêter.
Selon un journaliste de TechCrunch, la carte du jeu est semblable à celle de Pokémon GO mais en nettement plus chargée, reflétant grâce à la géocalisation les rues et les caractéristiques des environs (rues, parcs, points d’intérêt, etc), mêlés aux balais, hiboux, ou ingrédients de potions qui encombrent les lieux. Pokémon GO avait séduit par son modèle alliant géolocalisation et réalité augmentée, et avait connu un succès instantané lors de sa sortie en 2016, totalisant plus d’utilisateurs que Tinder un jour seulement après son lancement aux États-Unis. Si le jeu « Harry Potter : Wizards Unite » sera disponible gratuitement (des achats seront possibles dans le store) et dans 17 langues (anglais, français, allemand, espagnol, italien, etc), la date de sortie n’a pas été annoncée, bien qu’elle soit prévue pour cette année.
#PropTech: Welmo lève 500 000 euros pour révolutionner le marché immobilier français
La start-up immobilière française Welmo vient de boucler une levée de fonds de 500 000 euros. Lancée en 2016 par Nicolas Gay, Jimmy Delage et Charles Collas, Welmo est une agence immobilière en ligne accompagnant ses clients dans la vente d’un bien, en proposant une estimation gratuite de celui-ci, à des honoraires fixes, et en diffusant des annonces sur plus de 40 sites partenaires. La start-up se targue d’être devenue rentable peu après son lancement, en proposant un prix fixe sur la vente d’un appartement au lieu d’un pourcentage qui varie selon le prix du bien, contrairement aux agences classiques.
L’objectif principal de cette levée de fonds est d’accélérer la croissance de Welmo, en passant par des investissements en termes de marketing, communication et développement digital. Welmo espère aussi réaliser 50 000 transactions d’ici l’année 2021, et se lancer sur le marché européen. La levée permettra également à la start-up d’étendre son activité en Ile-de-France, mais aussi dans toutes les villes françaises où des premières ventes ont déjà eu lieu, principalement à Marseille, Bordeaux, Lille, Lyon et Nantes.
«L’objectif est de devenir l’agence préférée des Français, en positionnant l’entreprise sur un axe complètement révolutionnaire du segment immobilier, comme nous sommes la seule rentable sur le marché des agences immobilières en ligne» explique Nicolas Gay. Ce premier tour de table a été réalisé avec la participation de business angels comme Alexandre Ichaï, Patrick Marcovici et Michel Hussherr.
#Télécoms: Elliott réplique à Vivendi à l’approche de l’AG de Telecom Italia
AFP – Le fonds américain Elliott a lancé lundi un site web censé prouver la supériorité de sa vision stratégique pour l’opérateur Telecom Italia (Tim), sur celle de Vivendi, peu avant l’assemblée générale de Tim du 29 mars. Le groupe français de médias voudrait remplacer cinq membres du conseil d’administration par ses candidats lors de cette assemblée générale. « Elliott pense que les candidats de Vivendi sont insoutenables», déclare le fonds activiste. « Ils ne sont pas réellement indépendants et ils redonneraient simplement le contrôle à un groupe caractérisé par les conflits d’intérêt, (…) et son travail de sape des actionnaires de Tim».
Sur son site, Elliott expose ses critiques à l’égard de Vivendi, à coup de présentations, communiqués de presse et citations d’analystes et d’articles de presse. « La présentation d’Elliott décrit un choix clair pour les actionnaires à l’approche du vote du 29 mars: un choix entre la stabilité et la reprise de la valeur de l’entreprise, ou un retour à la mauvaise intendance de Vivendi, avec ses promesses non tenues, sa destruction de valeur généralisée et prolongée, et son mépris pour la bonne gouvernance», détaille le communiqué. Fin février, le groupe dirigé par Vincent Bolloré a publié un long document destiné aux actionnaires de l’opérateur italien pour démontrer que le fonds Elliott, qui lui a ravi le contrôle du conseil d’administration en mai 2018, agit avec des ambitions financières de court-terme qui nuisent à Tim.
En 2018, Telecom Italia a subi une perte nette de 1,4 milliard d’euros, contre un bénéfice de 1,1 milliard un an plus tôt. L’entreprise prévoit une année 2019 également difficile. En Bourse, son titre a chuté de 25% en un an. Il était quasi-stable à 0,56 euro lundi à la mi-journée à Milan. L’opérateur fait face à la concurrence nouvelle du français Iliad en Italie, parmi d’autres difficultés. Mais pour Vivendi, qui contrôle 23,9% de son capital, l’opérateur souffre avant tout de la gouvernance d’Elliott, deuxième actionnaire avec 9,4% des parts.
#Trump: Tim Apple ? Trump voulait « gagner du temps, économiser des mots »
AFP – Lorsque Donald Trump a rebaptisé Tim Cook, patron d’Apple, « Tim Apple« , Washington a beaucoup ri. Lundi, le président américain a avancé une explication originale: il voulait « gagner du temps et économiser des mots». La langue du milliardaire républicain, coutumier des lapsus, a fourché la semaine dernière lors d’une réunion à la Maison Blanche avec des dirigeants de grands groupes américains. « Vous avez vraiment investi beaucoup dans notre pays. Nous vous remercions beaucoup, Tim Apple», avait lancé M. Trump, suscitant des réactions amusées.
Tim Cook lui-même avait remplacé sur son compte Twitter son nom de famille par le célèbre logo de son entreprise, en forme de pomme croquée. D’un tweet, le locataire de la Maison Blanche, visiblement piqué au vif, est revenu lundi sur cet épisode déjà presque oublié. « J’ai rapidement fait référence à Tim + Apple en parlant de Tim/Apple, un moyen facile de gagner du temps et d’économiser des mots», a-t-il expliqué. « Les fake news se sont saisies de l’affaire de façon moqueuse et c’est devenu une autre histoire Trump négative!», a ajouté le président américain coutumier des attaques contre les médias qualifiés presque quotidiennement de « malhonnêtes ».
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