Médias sociaux, publicité en ligne, m-commerce… Les 3 dernières études à découvrir
Les internautes veulent plus de transparence des marques sur les médias sociaux, Le recrutement dans la publicité en ligne légèrement en hausse, M-commerce : qui sont les consommateurs?…Zoom sur trois nouvelles études.
Plus de transparence des marques sur les médias sociaux
La Allstate Corporation et le National Journal ont publié une étude sur le rapport que les Américains ont avec les marques sur les médias sociaux.
Celle-ci, reprise sur le site l’Atelier, révèle que « 60% des internautes interrogés reconnaissent que les médias sociaux leur ont permis de trouver des informations plus facilement sur les produits, mais estiment que les efforts des marques sur les réseaux sociaux n’ont d’autre but que la publicité ». 69% d’entres eux pensent même que la plupart des entreprises seraient présentes et actives sur les médias sociaux seulement dans un objectif de communication publicitaire et de collecte d’information sur leurs clients.
Ainsi, les américains interrogés auraient plus confiance dans les médias traditionnels (75% pour la télévision et la radio et 71% pour la presse) que dans les médias sociaux (30%). 49% d’entre eux considèrent que les marques doivent être plus accessibles et transparentes au travers de leur communication, malgré le fait qu’ils accordent tout de même de la valeur à l’information provenant des marques depuis les réseaux.
Enfin, 64% des Américains souhaiteraient voir émerger un service client en ligne qui leur permettrait de communiquer plus directement avec les marques, et ainsi les aiguiller sur leurs besoins et leurs envies.
Le recrutement dans la publicité online légèrement en hausse
Viadeo vient de publier, en partenariat avec Satellinet, les résultats de la sixième édition de son baromètre trimestriel des professionnels de la publicité en ligne, qui annonce leurs prévisions en matière de chiffre d’affaires, d’investissements sur le Web, de perspectives de recrutement et, plus globalement, leur degré de confiance en l’avenir.
Ce rapport indique en premier lieu que le moral des professionnels de la publicité en ligne est en baisse, puisque seulement 53,8% des interrogés déclarent être optimistes pour leur avenir (12% de moins que l’année précédente et 1,6% de moins que le mois dernier). Les portefeuilles clients ne sont quant à eux plus en baisse mais restent stables car chaque perte va au profit d’un autre portefeuille.
En ce qui concerne les investissements dans la publicité en ligne, 9,2% des professionnels pensent investir fortement dans les 3 mois à venir, contre 5,9% au précédent trimestre. A l’inverse, les prévisions de diminution des investissements en ligne sont supérieures de 8,4% par rapport au trimestre précédent. Enfin, 18,5% des patrons comptent recruter dans les trois mois à venir. Un chiffre légèrement en hausse face au mois dernier (17,6%) mais qui ne se rapproche pas encore des 41,8% d’il y a 9 mois.
Ci-dessus, le premier camembert représente les investissements dans la publicité en ligne, et le second les prévisions de recrutement dans le secteur.
M-commerce : qui sont les consommateurs ?
Tradedoubler, leader du marketing à la performance, a publié une étude sur la diversité des profils et parcours des consommateurs de m-commerce en Europe. Celle-ci a été réalisée par Forrester Consulting, auprès de plus de 2 000 utilisateurs de smartphones en Allemagne, en France, au Royaume-Uni et en Suède.
Il en ressort que toutes les données de consommation (avis sur les produits, codes promotionnels, comparateurs de prix, etc) auxquelles les consommateurs ont accès sur leurs mobiles démodent totalement l’achat traditionnel en magasin. Ainsi, plus de 71 % des personnes interrogées utilisent leurs smartphones pour effectuer des recherches sur un produit et 53 % pour l’acte d’achat directement.
Quant aux tablettes, 40 % des utilisateurs s’en servent pour effectuer des recherches en vue d’un achat et 33 % pour acheter. C’est moins que pour les smartphones, mais à l’inverse les dépenses sont plus élevées via les tablettes (230 € en moyenne, contre 140 € sur les téléphones mobiles).
Concernant l’utilisation d’un appareil mobile en boutique, il en résulte que 42 % des utilisateurs comparent les prix avant d’acheter et que 13 % s’en vont s’ils repèrent une offre plus attractive ailleurs. Dans l’ensemble, 25% des sessions de recherche mobile se terminent par un achat sur le téléphone lui-même.
Au Royaume-Uni, les acheteurs sur mobiles sont nombreux, mais 50% d’entre eux sont frustrés par le manque de facilité d’utilisation des sites internet sur mobiles. En France, 38% des utilisateurs estiment gagner du temps en achetant sur un appareil mobile tandis que 44% des consommateurs allemands estiment de leur côté que l’achat sur un appareil mobile n’est pas différent de celui effectué sur un ordinateur. Ces différences d’utilisation entre les pays sont très importantes pour les annonceurs qui tentent de développer des offres dédiées au commerce international.
Enfin, Près de 450% des sondés s’inquiètent de la sécurité de l’appareil mobile en tant que plate-forme de paiement, alors que 42 % des utilisateurs de smartphone sont prêts à les utiliser comme portefeuilles mobiles.
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