Métiers du Web : 4 écoles qui rivalisent pour attirer les futurs talents de la tech’
A l’occasion de la Semaine de l’Emploi dans le numérique, Frenchweb a sélectionné quatre écoles proposant des formations dans les métiers du Web et du développement.
- Hetic est une école proposant des formations dans le Web design, la 3D, le Web développement, Web marketing et management. Elle est accessible en admission parallèle dès Bac+1, ou plus selon les parcours. Son parcours grande école repose sur trois piliers : création digitale, les technologies, le business/management. Créée en 2002, elle dispose d’un réseau d’anciens étudiants présent sur plusieurs continents (voir notre article ci-dessous). A lire également : Ces étudiants d’HETIC partis tenter l’aventure à San Francisco, New-York ou Barcelone
- Epitech (IONIS Education Group) propose des formations en deux cycles : bachelor et expertise. Son réseau est doté d’une douzaine d’écoles en France (Paris, Nice, Bordeaux, Lyon, Nantes, Rennes, Montpellier…). Selon ses statistiques, 96% des étudiants seraient embauchés en CDI, principalement en tant que développeur (29%) ou ingénieur (31%). Les admissions démarrent dès la première année ou en admission parallèle après un bac+1, bac+2 ou bac+3.
- L’Ecole 42 a été lancée en grande pompe par Xavier Niel et plusieurs autres personnalités en 2013. Avec pour slogan « born2code », son objectif est clair : former aux métiers du numérique, en particulier dans le développement. Les admissions sont accessibles pour les personnes âgées de 18 et 30 ans, et aucun diplôme n’est requis. [A lire également : [We Love Entrepreneurs] A 42, « On enlève les profs pour que les gamins créent seuls leur chemin »]
- SUPDEWEB propose des formations en cycle bachelor et masters dans le développement Web et mobile, l’e-marketing, l’e-commerce ou encore la communication digitale. Les candidats peuvent être admis dès l’obtention de leur baccalauréat, ou après un bac+1, bac+2 ou bac+3. Le groupe SUPDEWEB dispose également d’antennes à Bruxelles, Strasbourg, Toulouse, Marseille, Nice et Shanghai.
Ce que l’on doit attendre d’une formation
Fabrice Bardèche, vice-président exécutif d’Ionis Education, un groupe de plusieurs écoles dont SUP’Internet: « Les formations doivent s’inscrire comme une réponse à un vrai besoin. Toutes les formations aux outils et aux grandes tendances doivent être, à chaque fois, mise à l’épreuve de la pratique que ce soit avec des projets d’entreprises ou des projets associatifs.
D’autre part, les formations doivent être transversales. C’est ce que nous faisons chez Ionis Education Group. Les élèves issus d’une formation vont travailler avec les élèves d’autres formations (ex: marketing, business…) sur un même projet, car chacun doit avoir la conscience et la connaissance des autres métiers, et comprendre leurs contraintes et leurs impératifs ».
Crédit photo: Hetic
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