Splio, le Lab postal, digiSchool… Les vidéos de la semaine
Pour se distinguer dans le secteur concurrentiel des campagnes d'e-mail et de la gestion de la relation client, le Français Splio parie sur la complémentarité. «La différenciation de Splio, c'est précisément de fournir une solution qui soit unique, modulaire, et qui permet, pour un utilisateur quotidien, de passer facilement de la gestion de la fidélité, à la gestion de campagnes, du clienteling en magasin, mais également, pour tous les acteurs de l'entreprise d'avoir accès facilement à cette information», explique Raphaël Jore, le président.
digiSchool vient de lever 14 millions d'euros auprès de Creadev, la société d’investissement de la famille Mulliez (à la tête d'Auchan notamment), et de SEPFI, la holding d’investissement de la famille La Villeguerin, et de la BPI. A l'issue de cette opération, Isabelle Weill, ex-associée cofondatrice de CCM Benchmark, et Clément Cezard, directeur développement de Netflix pour l'Europe, rejoingnent l'advisory board de la start-up. En 2013, l'entreprise avait bouclé un tour de table de 3 millions d'euros.
Lorsqu'une entreprise soumet un formulaire à ses clients pour mieux les connaître, nombreux sont ceux qui ne souhaitent pas répondre pour ne pas perdre de temps. Pour pallier à cette difficulté, la start-up toulousaine MyFeelBack parie sur des formulaires contextualisés selon chaque client et rapides à répondre. Plutôt que d'être soumis après le processus d'achat, ceux-ci s'intègrent dans le parcours. Avec ce concept, MyFeelBack revendique un taux de réponse moyen de plus de 85% sur plus de «20 millions» d'enquêtes réalisées auprès des clients de ses clients.
Pour accélérer Google Apps for Work, la suite d'applications dédiée aux professionnels, la firme de Mountain View part à la chasse aux bonnes applications en s'appuyant sur des start-up qui viennent apporter des outils spécifiques. C'est ainsi que la firme américaine a récemment signé un partenariat avec la société française Designed4Work pour la gestion des documents en ligne. L'ambition est de proposer une offre plus complète que les solutions généralistes (messagerie, stockage…), notamment en proposant des applications métiers.
Sur le terrain, les sportifs seront-ils bientôt connectés ? C'est en tout cas le pari de Cityzen Sciences, une start-up lyonnaise qui développe des textiles connectés. «Ce digital shirt est vraiment là pour capter de l'information qui est de nature biomécanique (…) : le rythme cardiaque, la fréquence, l'électrocardiogramme (…), le nombre de pas, les calories consommées», explique à Frenchweb Gilbert Réveillon, le directeur général international. Ces informations sont ensuite consultables depuis une application mobile.
De quoi une jeune pousse française de l'IoT a-t-elle besoin pour grandir et étendre ses réseaux vers l'international ? «D'un prototype qui marche, et d'un projet avancé», explique Simon Vacher, le nouveau manager du «Connected Camp», la structure d'accélération de l'IoT Valley, basée à Labège, dans la banlieue sud de Toulouse.
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