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Too Good To Go, Timyo, Balderton Capital…: le Top 5 des vidéos de la semaine

FrenchWeb a sélectionné 5 vidéos qui ont marqué la semaine.

 

Too Good To Go, l’application qui permet d’acheter les invendus des restaurants​

«Un repas dans ton assiette, un geste pour la planète», tel est le slogan de l’application Too Good To Go. Née en Scandinavie, au Danemark, en novembre 2015, elle entend lutter contre le gaspillage alimentaire en mettant en relation les utilisateurs avec les commerçants (boulangers, traiteurs, supermarchés, hôtels…) pour leur permettre d’acheter les invendus à prix réduits. «En France, nous jetons 20 tonnes de produits à la poubelle chaque minute», indique Lucie Basch, co-fondatrice de Too Good To Go.

Sur l’application, la géolocalisation offre l’opportunité aux utilisateurs de voir les commerçants qui revendent des plats invendus autour de leur position. Une fois le commerçant sélectionné, le paiement se fait directement depuis l’application. Il ne reste alors à l’utilisateur qu’à se rendre chez l’établissement partenaire à l’heure indiquée sur l’application pour venir récupérer le repas souhaité. Sur chaque portion vendue, Too Good To Go récupère 1 euro.


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Timyo veut aider les collaborateurs à gagner du temps dans leurs boîtes mails​

«L’e-mail est devenu un outil de destruction massif.» La phrase est signée Fabrice Dumans, qui a fondé en 2013 avec Alfred Vericel la start-up Timyo, qui développe une solution e-mail d’entreprise. Avec leur dispositif, les deux entrepreneurs entendent mettre fin à la «tyrannie de l’immédiateté», qui donne le sentiment aux employés d’être sous pression en permanence face au déluge de mails quotidiens.

Pour remédier à cette situation qui peut mener jusqu’au burn-out, selon Fabrice Dumans, Timyo, qui signifie «Time is my own» (le temps m'appartient), a conçu une solution pour aider les professionnels à gérer plus facilement leurs mails et ainsi gagner du temps. «Timyo innove en ajoutant la dimension temps dans le protocole de l’e-mail», affirme Fabrice Dumans, co-fondateur et CEO de Timyo.


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Pour Naïo Technologies, la robotique fait partie de l’avenir de l’agriculture

L'objectif de Naïo Technologies avec la robotique est de faire gagner du temps aux agriculteurs et de leur retirer des tâches répétitives et pénibles. Fondée en 2011 par Gaëtan Séverac et Aymeric Barthès, elle commercialise des robots à destination des agriculteurs. Ces derniers sont vendus entre 20 000 et 80 000 euros. L'entreprise espère enregistrer un chiffre d'affaires de 600 000 euros pour cette année.

C'est pourquoi, en plus des cinq robots déjà existants, Naïo Technologies vient d'annoncer le lancement de Dino. Ce dernier est destiné au désherbage. Si le choix de la gamme de la marque s'agrandit c'est aussi parce que les agriculteurs sont friands de nouveautés technologiques.


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Balderton Capital, le fonds d’investissement qui booste ses entrepreneurs​

Balderton Capital, fonds d’investissement spécialisé dans les nouvelles technologies, est considéré comme l’un des plus prestigieux d’Europe, avec plus de 88 sociétés en portefeuille et 2,3 milliards de dollars investis. A l’origine du fonds d'investissement se trouve la société de capital risque californienne Benchmark Capital, investisseur historique d’eBay ou encore Twitter.

Installé au coeur de Londres à deux pas du siège de Google UK, dans des locaux de start-up, loin des classiques bureaux feutrés des fonds d'investissements européens, Balderton Capital accompagne en série A des projets à fort potentiel avec des tickets allant de 1 million à 20 millions de dollars. Il compte dans son portefeuille, le site e-commerce Yoox racheté par Net-à-Porter en 2015 (rebaptisé depuis Yoox Net-à-porter) ou encore Talend, Aircall et Vestiaire Collective.


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Comment le Hub Bpifrance accélère le rapprochement entre grands groupes et start-up​

Lancé en avril 2015, le Hub Bpifrance souffle sa deuxième bougie. Sous la houlette de Cécile Brosset, cette structure a vu le jour dans le but de rapprocher start-up et grands groupes. Le défi majeur était avant tout de réussir à marier la culture des grands groupes avec le modèle agile des jeunes pousses.

Pour ce faire, le Hub Bpifrance a mis à disposition des grands groupes une offre de services pour leur permettre d’identifier rapidement les start-up françaises au potentiel le plus attractif. De cette manière, «l’objectif est de créer de vrais relais business pour que les corporates deviennent des clients des start-up, voire des acquéreurs», explique Cécile Brosset, directrice du Hub Bpifrance depuis son lancement.


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