[E-commerce] Les infos essentielles: Spreadshirt se rapproche des Youtubeurs, Alibaba veut ouvrir son « ambassade » en France
Melberries, spécialisé dans la valorisation de contenus vidéo sur le web, vient de nouer un partenariat avec Spreadshirt, une plateforme e-commerce allemande spécialisée dans l’impression à la demande sur textile et accessoires. Ainsi Melberries va permettre aux Youtubeurs dont elle gère les contenus de créer leur propre boutique en ligne de merchandising textile à destination de leurs fans.
Alibaba, le géant chinois, veut ouvrir un « ambassade » dédiée aux e-commerçants en France cet automne, a rapporté l’agence Reuters. Son fondateur, Jack Ma, a rencontré le président de la République François Hollande mercredi 18 mars à l’Elysée. Le but de la démarche est d’inciter les sociétés françaises à exploiter sa plateforme e-commerce pour commercialiser leurs produits en Chine. Certaines entreprises françaises n’ont pas attendu, à l’image de L’Occitane en Provence qui débarquait début décembre sur Tmall, la place de marché d’Alibaba.
Au mois de mai 2014, le ministre des Affaires étrangères français Laurent Fabius avait rencontré Jack Ma à l’occasion d’un déplacement en Chine dans le cadre de sa « diplomatie économique ». Il avait alors signé un accord pour favoriser la visibilité des produits français sur les plates-formes du géant Chinois de l’e-commerce.
Après Amazon et Expedia, Rakuten se met à accepter les bitcoins auprès de clients américains. Le groupe japonais d’e-commerce accepte les paiements en bitcoins sur ses sites internet américains depuis mardi 17 mars. Les sites allemands et autrichiens de Rakuten suivront rapidement l’exemple américain, indique l’agence Reuters.Le groupe a précisé ne pas encore avoir pris de décision en matière d’acceptation de bitcoins pour son site japonais, qui représente l’essentiel du bénéfice de Rakuten, précise l’agence.
96% des consommateurs sont influencés par l’e-réputation de la marque lors d’un achat passé en ligne. 66% d’entre eux reportent l’achat pour réfléchir et 30% renoncent carrément à passer commande. Ces données sont issues d’une étude réalisée par l’Ifop commandée par la société spécialisée dans la mesure de la réputation sur Internet Reputation VIP. 58% des internautes consulteraient les informations disponibles en ligne pour se faire une idée de l’image d’une marque ou d’un magasin, sans intention d’achat.
Le moral des e-commerçants français remonte. Interrogés par la Fevad, ils sont 82% à se dire autant ou plus optimistes qu’en 2014 pour l’année à venir. 78% s’attendent à une hausse de leur chiffre d’affaires et 61% une hausse de leur marge nette. Le scepticisme se manifeste davantage en ce qui concerne les levées de fonds – 48% seulement s’attendent à des opérations importantes – et l’ « émergence de grands acteurs » (28%). Il sont également 48% à prévoir d’embaucher cette année.
Ces résultats sont issus d’une enquête réalisée par la Fevad, en partenariat avec LSA et E-Commerce One to One, du 27 janvier au 18 février 2015 auprès d’un panel de 118 dirigeants de sites e-commerce (PDG/DG/Directeurs e-commerce).
La GSMA, association qui représente 850 opérateurs de téléphonie mobile à travers 218 pays du monde, vient de lancer sa place de marché en ligne, baptisée tout simplement GSMA Marketplace. Il s’agit d’une plate-forme dédiée aux acheteurs et aux vendeurs du secteur des télécommunications.
«GSMA Marketplace permet aux vendeurs de concevoir leurs propres vitrines personnalisées en ligne et de promouvoir leurs produits et services auprès d’une communauté mondiale d’acheteurs qualifiés dans le domaine des télécommunications» précise le communiqué diffusé le 18 mars.
Brocantelab.com, Le Barda.com et Objetdomotique.com… ces 3 sites ont été lancés il y a peu. Le premier est une place de marché participative pour chiner des objets et du mobilier de décoration. Cette sorte de brocante en ligne – où l’internaute peut acheter mais aussi vendre des objets – a été lancée en novembre dernier.
Le second est également une marketplace essentiellement tournée vers les objets déco et les vêtements. « Pour chaque sélection, nos curateurs parcourent les sites à la recherche d’objets uniques et de qualité. Nous puisons également dans les produits proposés par nos clients » précise la start-up.
Enfin, Objetdomotique.com est un site de vente d’objets connectés, de domotique, de petits robots édité par une start-up installée à Tours. Le site a été lancé il y a 4 mois.
Facebook acquiert le moteur de recherche TheFind L’objectif de la firme est de booster l’e-commerce sur son réseau. TheFind est un moteur de recherche spécialisé dans l’e-commerce, afin de mieux cibler les publicités. Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé. En savoir plus
- Merci Alfred: « nous voulons nous développer dans l’e-commerce » Ce site lifestyle, lancé il y a un peu plus de trois ans, déniche les bons plans pour les internautes. La société est désormais filiale du groupe aufeminin (87 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014) En savoir plus
Directeur Marketing et e-Commerce (H/F) chez un e-commerçant dans la décoration, à Londres-
Directeur e-Commerce (H/F) à Lyon
- Responsable e-Commerce (H/F) à Nanterre
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