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Vente-privee va co-produire des shows et lance vente-privee Productions

Vente-privee passe à la vitesse supérieure dans le divertissement. Déjà dotée d’unités de création – dont un studio de shooting photo et vidéo, des studios son pour réaliser les bandes-annonces, et d’une armée de créatifs – la société co-fondée par Jacques-Antoine Granjon va désormais co-produire des événements par le biais d’une nouvelle entité: vente-privee Productions. Elle veut désormais co-produire des festivals, des manifestations sportives, des expositions, et des spectacles. Et se démarquer ainsi de ses concurrents sur le secteur de la mode, dont Brandalley et Showroomprivé. Un premier test a eu lieu en juillet dernier avec le «Lalala Unplugged Festival», un festival de musique acoustique au Théâtre de Paris.

Le groupe veut proposer aux 3,5 millions de membres qui se rendent quotidiennement sur son site du spectacle, du vrai. La version revisité du film à succès Dirty Dancing est déjà programmé au Palais de Sports à partir du 15 janvier prochain, en co-production avec Interconcerts, Vantage Prod et Indigo Productions.

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Vente-privee, sous l’impulsion de «JAG»,  avait déjà montré son appétence pour les shows et le divertissement, en soutenant l’animateur Nagui sur la relance de l’émission Taratata, en collaborant à MyMajorCompany, plateforme de crowdfunding. Les clients de vente-privee ont eu l’occasion de venir voir des artistes français lors d’un concert live au Zénith de Paris.

Taratata-VP

En marge de son coeur de métier – les ventes événementielles- vente-privee construit son écosystème de services dédiés au divertissement grand public, il a lancé un service de billetterie (1 million de billets vendus en 2013). La société a aussi mis la main sur le Théâtre de Paris en 2013 avec l’aide de deux actionnaires minoritaires pour 6 à 7 millions d’euros. L’entreprise avait aussi étudié le rachat de la mythique salle Pleyel, un projet aujourd’hui avorté.

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>> Fin de l’aventure américaine pour Vente Privée

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